Deux bateaux encastre l’un dans l’autre, l’image était étonnante, le 7 octobre 2018, les
enquêteurs cherche encore pourquoi un navire tunisien percuté en plein fuir d’un compatriote
chypriote, l’accident a eu lieu à presque 30km des cotes Corse et l’enjeu d’empêcher toute
pollution.
La vue cette jour été saisissante, deux navires sont encastrés d’un dans l’autre, la traine de
fuel était gigantesque. La collision s’est produite vers 7 :30 à 30 km des cotes nord ouest du
cap Corse. Aucun blessé n’a été déploré a bord, mais le choque provoque une brèche de
plusieurs mètres dans la coque du porte-conteneurs chypriote.
Une nappe du carburant s’en échappé, elle s’étant de presque 4km de long et 100 mètres de
large. Un remorqueur d’intervention immédiatement a été déclenché, il est arrivé sur la zone
en début de l’après midi. L’Italie a également proposé son aide et envoyer des navires, et la
France aussi qui a envoyer le remorqueur de l’abeille Flandre, l’objectif est de limiter
l’extension de la traine du carburant car les opérations de dépollution ne débuteront que le 8
Octobre, par les barrages pour concentrer le fuel jusqu’à ce que les professionnels font le
nécessaire par l’écrémeur ; un système qui permet de ramasser la couche de surface et de
la stocker des navires spécialisées.
La désincarnation des deux bateaux à commencé le 8 octobre, qui est une opération
délicate, qui risque d’agrandir la brèche et d’aggraver cette pollution maritime. Une enquête
judiciaire est entrain de déterminer l’origine de cette collision pour l’instant inconnue.
A noté que le navire tunisien de la CTN parti de Gène direction Tunis, qui a percuté le porte
conteneur chypriote en mouillage. La quantité de fuel déversée est évalue entre 40 et
200m3, et l’opération de dépollution devait prendre plusieurs jours.
Aucun des deux navires n’a signalé de blessé.de plus le bâtiment d’assistance de soutien et
de dépollution (BSAD) Jason, a également appareillé depuis Toulon. Le centre opérationnel
de surveillance et de sauvetage (CROSS) de la garde qui coordonne les opérations avait
demandé dimanche matin d’intervention d’un hélicoptère de la gendarmerie nationale pour
faire une évaluation technique.